samedi 21 juillet 2012

Etape 12 : de Bolquère aux Bouillouses

Première journée de la nouvelle saison de votre série préférée. Jour de transit pour Panpi et moi, avec une destination commune, la gare de Bolquère, mais des départs différents : le Pays Basque pour lui et la côte d'Azur pour moi. Objectif : arriver "à peu près" en même temps, ce qui relève tout de même de la gageure  avec la SNCF comme moyen de transport !
Comme vous le verrez, on ne s'en est pas trop mal sortis...


Durée : 3h16
Distance : 12 km
Dénivelé : +600m -200m


Le GR est très facile à récupérer : il passe par la route située juste au-dessus de l'arrêt du train ! De là il suffit de le suivre à travers Bolquère, puis dans la forêt jusqu'au barrage des Bouillouses.
C'est une mise en train très agréable, et on en oublierait presque l'altitude : cet "échauffement" nous mène en quelques heures de 1600 à 2000 mètres d'altitude !


Le carnet de Panpi :

"Coucou, nous revoilou !! 4 heures : c’est l’heure où je suis tiré du lit avec un pressentiment concernant Argi [c'est le chien...] que nous avons fait dormir dans la voiture, pour gagner du temps. Et oui, le pauvre a été malade et sa caisse est dans un état lamentable . Donc nettoyage d’Argi et de sa caisse à toute vitesse car nous comptions partir pour Pau vers 4h30. 
Départ à 4h45 avec un Argi tout propre et Mylène et moi bien réveillés. Arrivée à Pau et voyage en autocar jusqu’à Tarbes avant de prendre le train pour Toulouse ; et puis enfin le TER pour la Tour de Carol. Voyage très joli jusqu’à la Tour de Carol où je dois prendre le « train jaune » pour redescendre sur Bolquère , retrouver Johann qui, lui, monte par le « train jaune » ; quelle organisation ! Mis à part que mon train ne s’arrête pas à Bolquère et continue vers Mt Louis. Panique à bord avant de constater que le train de Johann est arrêté à Mt Louis, et me voici donc sautant d’un train à l’autre : ouf !!


Mais la journée n’est pas finie car Johann nous a concocté une petite marche apéritive jusqu’au lac des Bouillouses. Il fait beau et la marche se passe bien, doucement, avec la rencontre de 2 parisiens dont Johann avait fait la connaissance dans le train. Arrivée au lac des Bouillouses et bivouac aux abords : je suis un peu mort ! 
Heureusement Johann a cuisiné un bœuf aux pâtes dont lui seul a le secret (et merci à Mylène pour le saucisson !) Et puis, boom, rideau, plus personne, dodo (22h30)."


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